Pour les élections de 2011 et 2018, le Caucus des femmes n’est pas resté indifférentes malgré le s défis lie au faible moyen financier. Des actions de sensibilisation et de mobilisation des femmes pour leur participation aux élections de 2011 et 2018 ont été organisées. L’objectif c’était d’amener les femmes à comprendre que toute ambition se cultive et se nourrit pour affronter l’avenir. Les analyses du contexte liées à la participation politique des femmes ont été réalisées, ce qui leur a permis de comprendre qu’elles ne devraient pas se fatiguer ni désarmer car elles ne recevront pas le pouvoir sur un plateau d’or tout en insistant sur le fait que l’Etat congolais devrait aussi mettre en place un cadre électoral légal sensible au genre pour que les femmes soient élues et relever les défis liés à la faible représentions des femmes . Certaines femmes ont relevé le fait que la mise en place de mesures incitatives de discriminions positive, tel que le système de quota, par exemple accroitrait le nombre des femmes dans les instances de prise de décision et contribuerait à la construction petit à petit d’une classe politique congolaise équilibrée.
En 2011, par exemple, Sur 76 femmes candidates à la députation nationale au Sud-Kivu, une dizaine était des candidates non éluées en 2006. L’on a noté une augmentation de 20 femmes soit % car en 2006, à la députation national, seules 56 étaient des femmes au SudKivu.